La phycocyanine possède une puissante activité antivirale
Les virus se caractérisent par leur petite taille, ils n'ont pas de métabolisme, les chercheurs hésitent à les classer, ils sont entre la matière inerte et la matière vivante.
En effet, ils sont obligés d'utiliser à leur profit le métabolisme de la cellule qu'ils infectent afin de pouvoir se reproduire.
Ils sont dans l'incapacité de produire de l'énergie pour fabriquer le matériel dont ils ont besoin.
La plupart des virus déclenchent la production d’anticorps spécifiques
Lorsque ces anticorps demeurent dans l’organisme, ils le protégeront par la suite lors d'une nouvelle attaque de ce virus. La contamination peut se faire par voie respiratoire, digestive, transcutanée, sexuelle, sanguine, etc., ce qui fait qu'ils sont souvent responsables d'épidémie. Par ailleurs, le virus en introduisant son acide nucléique dans la cellule modifie I‘information génétique de celle-ci et peut favoriser à terme sa cancérisation.
La faculté de médecine de l'université Harvard à Boston ainsi que la Dana Farl Cancer Institute ont pu démontrer en 1996 que la phycocyanine et les éléments associés de la spiruline permettaient d'inhiber la réplication du V.I.H. (le virus du sida) dans les lymphocytes T et les cellules sanguines mononucléaires périphériques, ce à une concentration de 5 à 10 μg/ml. À doses plus fortes, elles stoppaient la réplication virale !
D'autres études démontrent la capacité de la phycocyanine et des éléments associés de la spiruline à inhiber d'autres virus tels celui de la grippe (type A), des oreillons, de la rougeole, de l’herpès simplex, du cytomégalovirus.
Et ce, sans danger, en toute innocuité.
La phycocyanine et ses éléments associés (et plus particulièrement le calcium spirulan) protègent la cellule en empêchant la pénétration du virus à travers la membrane. Le virus alors ne peut se multiplier, il finit par être éliminé.
Extrait du livre « LA PHYCOCYANINE » Éditions M
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